Chaque dimanche, retrouvez les liens Civic Tech de la semaine.
Bientôt sur CivicTechno.fr, la première interview « collaborative » du collectif Ma Voix.
22 des membres de #MaVoix ont eu la gentillesse de répondre à quelques questions, la synthèse ainsi que la totalité des réponses dans quelques jours sur ce blog.
Interview-à-autant-qu'on-veut ;-)Bonjour à toutes et à tous, nous avons reçu une demande d'interview par écrit de la…
Posté par MA VOIX sur vendredi 11 mars 2016
Panorama de la Civic Tech : que demande le peuple ? – Studios Singuliers
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Aujourd’hui, la Civic Tech n’a pas encore véritablement trouvé son modèle économique. Ses plates-formes connaissent un fort taux d’érosion, car en politique, seuls restent ceux et celles qui construisent leur engagement dans le temps. L’open data et l’open source ont du mal à s’imposer dans les entreprises. Quant à la mobilisation des citoyens sur le terrain, pas seulement devant leurs écrans, c’est une autre paire de manches. Cependant, grâce à la Civic Tech, une transition vers de nouvelles formes de démocratie est certainement en marche, ce qui semble aller dans le sens de l’Histoire.
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Les acteurs de la Civic Tech contribuent à renforcer l’engagement citoyen, la participation démocratique et la transparence des gouvernements et entreprises : si bien qu’à l’horizon, se profilent de nouveaux modes de représentation plus flexibles comme la démocratie liquide, permettant de déléguer son vote à un autre citoyen. Ce mandat de représentation est dit liquide car révocable, ce qui est plus engageant qu’un simple partage sur la toile et potentiellement très viral. Les citoyens pourront plus directement participer à la vie politique, à condition de reconquérir leurs facultés de proposer, de débattre, de délibérer ensemble, en continu, sur tous les sujets de la cité. Grâce aux progrès de la cryptographie et au modèle de la blockchain expérimenté sur le Bitcoin, demain, la technologie devrait permettre d’organiser des votes dont il sera impossible de falsifier les résultats. La Civic Tech n’en est encore qu’à ses débuts. Tout reste donc ouvert pour les prochaines années, qui nous réserveront sans doute de belles surprises. Et vous, quel est votre engagement ?
Axelle Lemaire : quelle impulsion numérique avant la fin du quinquennat ? – ItEspresso
Dans une interview vidéo, Axelle Lemaire énumère les dossiers qu’elle souhaite approfondir d’ici 2017 et qui entrent dans ses prérogatives : suivi du projet de loi sur la République numérique (l’examen par le Sénat commence prochainement), Plan France Très Haut Débit avec le cap maintenu pour l’année 2022, la digitalisation des TPE-PME qui manque de souffle mais aussi la « mobilisation citoyenne par le numérique » (concept de « Civic-Tech »).
Les « civic techs », dernière chance de décloisonner la politique ? – David Guez dans La Tribune
En deuxième lieu, les civic techs permettent de modifier durablement la nature de l’engagement politique. Jusqu’à présent, un citoyen souhaitant agir disposait principalement d’axes d’actions traditionnels : parti politique, syndicat ou association.
Toutefois, la barrière à l’entrée est forte et suppose une grande implication pour que l’action individuelle puisse impacter et influencer la prise de décision de l’entité au sein de laquelle le citoyen participe. Sauf à y consacrer quasi l’intégralité de son temps, cela reste difficile, ce qui explique la professionnalisation de la classe politique.
Grâce au numérique, le citoyen dispose dorénavant d’une capacité d’interaction réelle avec la sphère politique, à géométrie variable selon ses envies et sa disponibilité. Il est ainsi possible de participer à des sondages en ligne ou des débats d’idées, à l’élaboration de projets de loi ou co-construire un programme politique.