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Liens de la semaine

Les liens CivicTech de la semaine #25

25 août 2016 • By

Vous pouvez habituellement retrouver ici chaque dimanche les liens Civic Tech de la semaine : cette revue de liens a pris un peu de retard avec l’été et les vacances…  Voici donc les liens Civic Tech du mois d’aout 😉

Les liens civic tech du mois d'aout - civictech

 

Le « liberté living lab », nouveau lieu de la Civic Tech – Contrepoints 

Pas d’élitisme ou d’entre soi : des adolescents et de jeunes publics scolaires sont associés dans ce lieu de travail qui veut laisser une vraie place à la jeunesse : ils représentent 10% des résidents. Leurs regards neufs et leurs observations sont des atouts précieux pour les startups de l’Edutech. Un fablab est d’ailleurs réservé aux  jeunes publics. La question du bien commun intéresse les startups, mais aussi les administrations et l’Etat.

Les membres du lab ont entamé des discussions avec Axelle Lemaire afin de les intégrer au projet. « Il faut sortir des stéréotypes sur les équipes de l’État. Il y a des gens absolument incroyables. Mais comme les grandes entreprises, ils sont confrontés à des problématiques de transformation monstrueuse. Ne pas vouloir travailler avec l’État ou avec les acteurs publics c’est se priver d’une puissance d’action incroyable », affirme Jérôme Richez, qui souhaiterait que des représentants de l’État intègrent le comité de pilotage du projet.

 

LaPrimaire.org : 16 candidats citoyens pour changer la donne en 2017 – Medium 

Le 14 juillet dernier à minuit s’est conclue la phase de qualification à LaPrimaire.org. Pour pouvoir se qualifier, chaque citoyen a dû prouver sa capacité à rassembler au minimum 500 soutiens autour de son projet.

En tout, ce sont 16 citoyens candidats qui se sont qualifiés pour participer à LaPrimaire.org et 5 citoyens ont été plébiscités pour se porter officiellement candidats.

La « civic tech » sauvera-t-elle le politique ? – Le Monde

La République de la prochaine décennie sera-t-elle numérique ? La « civic tech » va-t-elle progressivement envahir la sphère du politique ? En bon français, le terme recouvre tout outil ou processus numérique utilisable par les citoyens pour influer sur la scène publique. A l’heure où les institutions et les élus ne cessent de perdre en crédibilité, d’aucuns placent de grands espoirs dans cette « technologie civique ». Elle pourrait, affirment-ils, élargir considérablement le nombre de participants à la décision publique, tant à l’échelle locale que nationale. En mettant en réseau un grand nombre de citoyens, Internet permettrait tout à la fois de les informer, de les faire dialoguer ensemble et de donner leur avis, bref, de faire émerger une intelligence collective assurant à son tour une meilleure participation citoyenne aux instances démocratiques.

Pour éviter l’ubérisation de la démocratie représentative, nos députés ont une idée – L’usine digitale

Elle est passée inaperçue dans le brouhaha de la Loi travail, mais la proposition de loi organique déposé par une cinquantaine de députés  le 20 avril 2016, mérite qu’on y revienne. Courte, claire, ses trois articles visent à généraliser la consultation publique en ligne, par l’internet, sur les textes de loi avant leur examen par le Parlement, comme ce fut le cas pour la Loi pour une république Numérique d’Axelle Lemaire.

Pour ces députés, si internet remet en cause  la démocratie représentative « en permettant aux citoyens internautes d’être récepteurs et émetteurs d’un nombre illimité d’informations et d’éléments d’expertise », il peut aussi être l’un des instruments d’une sortie de cette crise, en permettant aussi aux citoyens de participer activement à la préparation de la décision politique. Il pourrait même « contribuer à refonder la confiance envers les représentants », écrivent les députés dans le préambule du projet de Loi.

 

Primaire à droite : comment les candidats utilisent les réseaux sociaux – Le Parisien

C‘est devenu un outil incontournable. Certes, la campagne de la primaire à droite se mène encore sur le terrain, mais elle se joue aussi — et surtout — sur le Web. Tous les candidats sont sur Facebook, Twitter, Instagram ou LinkedIn. A l’image de leurs programmes, ces campagnes numériques se ressemblent, mais chacun des postulants cherche à marquer sa différence.

 

Crise politique brésilienne : une opportunité pour la civic tech ? Rio Innovation Games

Pour Alessandra Orofino et Miguel Lago, les fondateurs de Meu Rio, la plateforme participative immanquable sur la scène civic tech carioca, ces jeux ont généré un sentiment de gâchis : ils auraient dû permettre des transformations pour la ville, une culture de la responsabilité et de la transparence, mais les habitants n’ont pas été consultés et il n’y aura pour eux aucun héritage.

Depuis 2011, cette start-up veille à transformer la population carioca en un véritable contre-pouvoir. Frappés par le désengagement des jeunes générations suite à la défaite électorale municipale de Fernando Gabeira face à Eduardo Paes en 2008, Alessandra et Miguel avaient mis trois ans à trouver comment traduire les politiques publiques dans un langage compréhensible par toute la société. Leur site propose plusieurs moyens d’action qui vont de la mobilisation (des vidéos et infographies pour comprendre les politiques publiques, un blog pour analyser la ville au quotidien) à l’impact direct (des pétitions de grande ampleur qui permettent de garder un oeil sur la ville).

 

‘Sim City’ à la parisienne : dessinez vous-même le prochain grand parc de Paris – TimeOut

Après ‘Pokémon Go’, voici peut-être le nouveau jeu qui va emballer la capitale : une sorte de ‘Sim City’ organisé par la mairie de Paris, où vous pouvez dessiner le prochain grand parc de la ville ! Pas folle, Anne Hidalgo a compris qu’associer les Parisiens à la politique de la ville était le meilleur moyen de désamorcer les critiques. Ceux qui se souviennent du jeu développé par Maxis prendront donc un malin plaisir à se prendre pour Dieu ou la maire de Paris (au choix), en construisant ce futur espace vert de 6,5 hectares intitulé « Chapelle Charbon ». Situé dans le 18e arrondissement, le parc ouvrira en deux étapes entre 2020 et 2023 dans le cadre du projet d’aménagement Paris Nord-Est.

 

Noter plutôt que voter – Le Monde

« Un certain nombre d’électeurs ressentent un sentiment d’exaspération face au mode de scrutin en vigueur, mais il reste à trouver la bonne alternative », avance Antoinette ­Baujard, maître de conférences en sciences économiques à l’université Jean-Monnet de Saint-Etienne.

Avec une poignée de chercheurs, elle étudie un autre modèle : le vote par notes ou par approbation. Son principe ? « L’électeur note chacun des candidats. Dans le cas du vote par approbation, il met 0 ou 1. Le vote par notes, lui, peut inclure une évaluation négative, ou encore proposer un classement allant de 0 à 2 ou de 0 à 20 », détaille l’universitaire. Plutôt que de se prononcer en faveur d’un candidat unique sans évaluer ses concurrents, il s’agit de classer chaque candidat sur une échelle de valeur prédéfinie. Le gagnant est celui qui obtient le score le plus élevé.

 

Le mouvement « Civic Tech » : être citoyen à l’ère du numérique – Pratique

Au-delà de l’effet d’annonce, jusqu’où ces outils peuvent-ils renouveler le dialogue démocratique local ? Un élément avec lequel les municipalités doivent composer aujourd’hui, c’est la « ségrégation numérique ». Autrement dit : l’inégalité d’accès aux outils numériques. Les plateformes de consultation publique visent essentiellement un public de jeunes actifs connectés qui s’intéressent à la vie de leur quartier, mais n’ont ni le temps ni l’envie de participer aux réunions municipales. Compte-tenu de la dynamique du mouvement et de l’intérêt croissant des municipalités, la démocratie 2.0 devrait certainement progressivement élargir ses rangs.

 

L’inclusion numérique, l’autre versant de la civic tech – Contrepoints 

Un possible risque de la civic tech est d’aggraver la fracture démocratique en n’attirant qu’un public restreint et ciblé (jeune, connecté et déjà intéressé par la vie politique). L’inclusion numérique, c’est-à-dire le fait d’inclure toute la population à la vie et aux outils numériques, est un terme qui revient de plus en plus pour désigner l’objectif d’ouverture qui est à la fois une nécessité et un enjeu pour les civic tech.

Plusieurs définitions de l’inclusion numérique existent, mais on peut y lier ces trois caractéristiques :

  • Connectivité : avoir accès à Internet

  • Compétences numériques : être capable de se servir des ordinateurs, smartphones et d’Internet

  • Accessibilité : les services doivent être conçus pour satisfaire les besoins des utilisateurs et en permettre l’accès et l’usage à tous.

 

Paris, j’aime votre civictech projets – Joe Mitchell

The French are precious about French. It’s fair enough. Gotta watch that creeping Anglicisation. Courriel, for example, is the officially designated French translation for email. 

So I’d imagined that they wouldn’t go in for ‘civic tech’ so much. But they love it! People instantly knew what I was on about — even folks not in the tech or civic sector. Vive la France.

And there’s a lot of civic tech going on. Paris’ civic tech scene is thriving — and represents only some of what is going on across France. Here’s what I learned, between scoffing baguettes and incredibly good fromage, and pottering around the Canal St Martin.

Civic Tech : la démocratie à l’heure du numérique – RSLN

La majorité des initiatives de la Civic Tech partent de 3 mots d’ordre : « transparence, responsabilité, participation ». Rien de plus normal donc que de voir apparaître des start-up et des plateformes souhaitant œuvrer à une vie politique plus transparente et plus inclusive.

Des acteurs comme nosdeputes.fr, ou lafabriquedelaloi.fr proposent ainsi à tous les citoyens de mieux comprendre et contrôler l’action publique. En offrant un suivi des débats parlementaires ou d’actions individuelles des élus, ils favorisent à la fois la transparence sur le processus… et la prise de responsabilité des députés pour leurs actions.

OpenSpending prône également la transparence, mais sur les dépenses publiques cette fois, en offrant aux citoyens le moyen de voir très précisément dans quoi sont dépensés les deniers publics. Présente dans 76 pays dont la France, cette plateforme issue de l’Open Knowledge Foundation travaille en partenariat avec des acteurs publics du monde entier, de la commune à l’Etat, afin de récupérer les données publiques et de les mettre en forme.

 

Engagements en faveur de l’Open Government : bilan mitigé pour la France – Next Inpact

Un an après avoir présenté ses engagements en faveur de l’Open Government, la France fait le bilan. Si certaines promesses ont rapidement été tenues, notamment sur la consultation des internautes lors de l’élaboration du projet de loi Numérique, la situation s’avère bien moins reluisante sur certains dossiers…

Comme tous les membres de l’Open Government Partnership (OGP), la France a dû procéder à un point d’étape, officialisé cette semaine par la publication d’un rapport (voir ici). Les pouvoirs publics se sont ainsi lancés il y a plusieurs mois dans un exercice d’auto-évaluation, en prenant soin de consulter la société civile – via Internet ou hors ligne, lors d’un « ministère ouvert » – conformément aux principes de l’organisation.

 

La France porte une vision et des propositions pour trouver l’équilibre entre l’ouverture des données et la protection de la vie privée – Atlantico

L’action publique semble aujourd’hui faire face à une équation impossible, entre réduction des moyens et multiplication des mécontentements. Les approches traditionnelles de la réforme sont mises en échec. A cette approche décliniste, L’Etat en mode start-up oppose une autre vision, celle d’une action publique réinventée, plus agile et collaborative, « augmentée » par l’innovation technologique et sociale. Extrait de « L’Etat en mode start up », de Thomas Cazenave et Yann Algan.

 

Vous avez demandé Barack Obama sur Facebook Messenger ? Ne quittez pas… – L’usine digitale

Hélas, il s’agit plus d’une boite d’envoi basique que d’une interface de conversation virtuelle : le robot, à ce stade, n’est pas capable d’analyser la discussion et d’apporter des réponses, même simples. Mais l’ouverture de ce canal de communication illustre la volonté de la Maison Blanche d’être présent sur tous les supports.

 

La boîte à outils du gouvernement ouvert – OGP Summit

La France accueillera le Sommet Mondial du Partenariat pour un Gouvernement Ouvert à Paris les 7, 8 et 9 décembre 2016.

Comme annoncé lors de l’événement collaboratif du 20 avril dernier, le programme prévisionnel du Sommet inclut un hackathon sur le thème des civic techs et de la mise en œuvre concrète des principes et engagements du gouvernement ouvert. L’objectif est de présenter et de mettre à disposition de tous les membres du Partenariat une première version d’une “boîte à outils” de l’open gov. 

Portails d’open data, plateformes de consultation citoyenne, outils de suivi et d’élaboration collaborative de la loi, forums, civic techs, plateformes en ligne d’évaluation des plans d’action nationauxIl existe en effet de nombreux logiciels et services numériques à travers le monde, développés et utilisés par les administrations ou par la société civile, qui pourraient être référencés, partagés et réutilisés.

Cette « boîte à outils », qui sera agrémentée de cas d’usages et de critères techniques permettant de se repérer dans les solutions disponibles, visera ainsi à la fois à faciliter la mise en œuvre des engagements pris par les gouvernements dans le cadre de leurs plans d’action nationaux, et à favoriser le partage de ressources et d’expériences et les coopérations entre membres du Partenariat.

Jusqu’à décembre, des sprints de contribution permettront à des agents de l’administration, des représentants de la société civile, des entreprises, des start-ups et des membres de la communauté civic tech de co-construire cette « boîte à outils ». Le lancement de la plateforme aura lieu lors de la clôture du hackathon du Sommet mondial du Partenariat pour un gouvernement ouvert, les 8 et 9 décembre 2016.

 


Liens de la semaine

Les liens CivicTech de la semaine #17

16 mai 2016 • By

Chaque dimanche (et cette semaine, lundi pour cause de long week end), retrouvez les liens Civic Tech de la semaine.

Les liens civictech de la semaine 17 civic tech

 

Open data : la Bretagne principal initiateur du futur référentiel national des données essentielles de marchés publics – Localtis

Organisé par le SGMAP en partenariat avec le conseil régional de Bretagne, l’association Breizh Small Business Act et le soutien de la French Tech de Rennes-Saint-Malo, le BarCamp était justement destiné à accélérer la diffusion de la démarche à l’échelle nationale.
Les participants – des collectivités territoriales bretonnes, des start up, des éditeurs de logiciels ou encore un groupement d’achat public – ont été pour cela invités à s’appuyer sur ce premier outil pivot et à en tester le format (disponible en version beta sur data.gouv) afin d’en faire un référentiel national. Il s’agissait en particulier de veiller à proposer des données homogènes et des analyses claires et pertinentes et de s’assurer de la simplicité de l’outil en explorant le point de vue de l’utilisateur. « L’utilisation d’un référentiel commun au niveau national doit garantir l’interopérabilité des données, encourager leur réutilisation ».

 

Projet de loi égalité, les citoyens auront leur mot à dire – La Croix

Le gouvernement n’a pas perdu tout espoir de retrouver grâce aux yeux des Français. Il ne veut, en tout cas, pas manquer une occasion de tenter de se faire apprécier.

Le dernier projet de loi du quinquennat, baptisé « égalité et citoyenneté », lui en fournit une. Jeudi 12 mai, Patrick Kanner, ministre de la ville, l’écologiste Emmanuelle Cosse, en charge du logement et Ericka Bareigts, secrétaire d’État à l’« égalité réelle », ont officiellement inauguré un site Internet où les internautes sont invités à donner leur avis sur ce texte.

Une méthode qui tranche avec celle adoptée pour réformer le Code du travail, alors que le gouvernement a fait appel au 49-3 pour imposer son texte. Patrick Kanner l’assure, la « volonté de dialogue » est là. Le gouvernement entend aussi souligner son adhésion à « l’Open Government Partnership » au niveau mondial, alors que la France doit assurer la présidence de ce mouvement collaboratif en 2016.

 

Civic Hall encourage l’innovation civique à New York – L’Atelier

  • Nous organisons chaque année la conférence Personal Democracy Forum – qui aura lieu les 9 et 10 juin 2016 à New York. Cet événement est unique car il rassemble différents secteurs/domaines/mondes qui n’ont pas pour habitude d’interagir : la politique, la technologie, le monde académique, la presse, l’entrepreneuriat social, les professionnels de la RSE (Responsabilité sociale de l’entreprise) etc.Après 12 années, l’événement a rencontré un tel succès, que les participants ont émis le souhait d’avoir un lieu pour se rassembler plus régulièrement. Civic Hall est donc un espace de travail communautaire et un lieu de rencontres qui oeuvre dans le domaine de la Civic Tech. Par Civic Tech, j’entends toute technologie conçue pour contribuer au bien public.

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  • Le procureur général de NYC nous a approché récemment, et nous a demandé de construire une application qui permettrait aux victimes de violence domestique d’avoir sur leur smartphone leur ordre de protection. L’ordre de protection est un document légal qui indique qu’une personne doit être protégée, de sorte que si un officier de police intervient lors d’une dispute conjugale, la victime peut prouver que le conjoint n’est pas autorisé à être près d’elle. Nous avons donc pensé que c’était une très bonne idée, mais que l’on pouvait aller bien plus loin. Nous avons rassemblé le bureau du procureur général, le bureau des violences domestiques de la mairie de NY, plusieurs organismes à but non lucratif, globalement tous les acteurs new-yorkais travaillant sur les problématiques liées aux violences domestiques. Et nous leur avons demandé « de quoi cette communauté a-t-elle besoin en termes de technologies ? »
    Peut-être une messagerie instantanée vers un conseiller spécialisé, peut-être un réseau de soutien. Nous avons donc commencé une collaboration avec 6 agences et 6 organismes à but non lucratif pour fournir des solutions technologiques en réponse au problème de violence domestique.

 

  • New York est la meilleure ville pour commencer mais notre idée à long terme n’est pas de n’avoir qu’un Civic Hall ici, nous espérons un jour en avoir plusieurs dans d’autres villes.

    Peut-être y aura-t-il des espaces physiques comme celui dans lequel nous sommes, mais nous pensons que les activités et projets que nous menons ici devraient aussi être accueillis dans les bibliothèques, car les bibliothèques sont les espaces municipaux les plus sous-utilisés dans notre société, tout en renfermant un grand potentiel sur la scène civique.

    Alors que nous travaillons à démanteler l’âge industriel et les structures économique et politique que celui-ci nous a apportées, le moyen de reconstruire de nouvelles structures au XXIème siècle passera par la collaboration, la communauté, et par des espaces séculaires qui favorisent les rencontres entre citoyens comme Civic Hall.

Google peut-il prédire le résultat des présidentielles de 2017 ? – Contrepoints

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  • Google Trends est un outil mis à disposition par Google pour connaître sur son moteur de recherches le volume de celles-ci entre aujourd’hui et n’importe quelle date du passé depuis la création de Google, ou presque. M’interrogeant assez souvent sur la question de savoir si un mauvais buzz est meilleur que l’absence de buzz tout court, je me suis amusé à regarder au cours des élections passées le volume de recherches générées par des candidats opposés, pour comparer si le candidat faisant le plus parler de lui — que ce soit en bien ou en mal — était in fine élu ou pas.

  • Les résultats que j’ai obtenus le sont sur une période permettant d’étudier les élections présidentielles de 2007 (Nicolas Sarkozy bat Ségolène Royal) et de 2012 (François Hollande bat Nicolas Sarkozy).Les résultats de Google Trends sont sans équivoque. On observe en 2007 que Nicolas Sarkozy est bien le candidat qui a généré le plus de recherches, et on constate que François Bayrou et Ségolène Royal se tiennent dans un mouchoir de poche derrière, ce qui reflète assez bien le premier tour de la présidentielle.En 2012, on constate bien que François Hollande a généré plus de recherches sur sa personne que Nicolas Sarkozy, ce qui correspond bien aux résultats de l’élection.Verdict : le candidat ayant le plus généré de recherches d’internautes en France au cours des deux dernières élections présidentielles a bien été le candidat élu.

 

Swiss Town Begins Accepting Bitcoin for Public Services – Bitcoin.com

The small town is already known for its fast growing fintech operations, even being called “Crypto Valley” by some, with 15 fintech-oriented companies being located there.  Apparently the town council has hopes Zug’s trend as a financial tech hub continues  — having embraced the new identity with this legislative move.

In a report by local publication StadZug, town mayor Dolfi Müller Stated:

« We want to express our openness to new technologies by expressing our own experiences (with bitcoin). We will invite Fintech companies in Zug to exchange ideas with the City Council. Our goal is to meet their needs for optimal development in our thriving economic environment. »

 

Partenariat pour un gouvernement ouvert : les collectivités et les citoyens invités à contribuer – Localtis

Suite au lancement de ce sommet le 20 avril dernier, le secrétaire d’Etat chargé de la réforme de l’Etat et de la simplification a présenté une communication en conseil des ministres, ce 11 mai, sur le sujet. « Cet événement sera, ce qui est inédit en France, conçu avec les collectivités locales, les associations, les chercheurs, mais aussi les citoyens eux-mêmes », peut-on lire dans le compte rendu du conseil des ministres. Ouverte jusqu’au 20 juillet, une plateforme en ligne est destinée à permettre cette co-construction.

 

“Sadiq: transform London into a Civic Tech City” – NeswStatesMan Tech

Civic technology, a growing field led by social enterprises developing new digital tools, allows citizens to better connect with and hold to account those in power. However, from our own research, we see that current civic tech services are not achieving the reach or impact their developers had hoped for: indeed, they tend to be used by those already comfortable dealing with governmental agencies.

The new mayor has a timely opportunity to establish London as the civic tech hub for the world, allowing more people – including those from excluded and marginalised groups – to participate in the civic life of their city.

As noted by Will Perrin on Talk About Local, in his swearing-in speech Mayor Khan said ‘‘I am determined to lead the most transparent, engaged and accessible administration London has ever seen”. So what would this mean in practice?

Le Réveil, premier mouvement collaboratif en Afrique centrale, lance sa plateforme participative – Le Réveil Gabon

Une première en Afrique centrale. Le mouvement citoyen Le Réveil lance un appel aux forces vives de la Nation, sous forme d’une consultation démocratique. Une action qui s’est matérialisée par le lancement de sa plateforme le lundi 09 mai 2016, à Libreville, créant ainsi le premier mouvement collaboratif d’Afrique centrale.

Le Réveil entend, par cette action forte, innovante et inédite, offrir un espace de discussion à nos concitoyens. 7 axes majeurs, correspondant à 7 grandes thématiques ont été définis par l’équipe Le Réveil pour construire le Gabon de demain.

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A travers ces grandes lignes, les compatriotes pourront faire des propositions qui seront synthétisées dans un document appelé « Cahiers d’Espérances du Gabon ».

Le Réveil s’est fixé une mission de donner la parole aux Gabonais, réveiller le débat et l’enrichir de toutes les bonnes idées qu’ils proposeront. Pour ce faire, il ambitionne de fédérer les énergies au sein d’une même dynamique et d’initier une nouvelle forme d’expression démocratique.

 

Donnons un nom à notre région – Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées

  • La nouvelle région, issue de l’union de Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées, lance une grande consultation sur son futur nom.
  • Qui peut participer ? Toute personne âgée de 15 ans minimum habitant dans la région Languedoc Roussillon Midi Pyrénées ou ayant des attaches dans celle-ci.Donnons un nom consultation LRMP
  • Suite à cette consultation citoyenne, les élus régionaux adopteront en Assemblée plénière le 24 juin 2016, une résolution comportant l’avis au Gouvernement relatif à la fixation du nom définitif de la nouvelle région. Un décret en Conseil d’Etat devra valider ce nom avant le 1er octobre 2016.

Bienvenue dans une France qui bouillonne – Point d’aencrage

Nous vivons une période de rare ébullition démocratique. Des dizaines de bulles représentant autant d’initiatives et de collectifs s’agglutinent, s’entrechoquent, tentent parfois de fusionner, et cette agitation collective finit par surgir à la surface de l’écho médiatique. Rien qu’au mois d’avril, une pétition a réuni 100 000 personnes en une semaine pour que l’élection présidentielle reste ouverteaux candidatures citoyennes, #MaVoix a tiré au sort son premier candidat qui se présentera à l’élection législative partielle de Strasbourg fin mai, et 30 000 citoyens ont commencé à faire leur choix parmi plus de 70 candidats non affiliés à des partis sur l’application de laprimaire.org.

 

Technologie civique et activisme : quelle démocratie à l’ère d’internet ? – OuiShare

Cette démocratie a de nouveaux visages. Vous connaissiez peut-être Fluicity, La Primaire ou Voxe. Nous vous proposons aujourd’hui d’aller voir l’innovation civique telle qu’elle s’invente de l’autre coté de l’Atlantique et de revivre le OuiShare Fest 2015 à travers une intervention de Pia Mancini (Democracy OS) et un échange entre Alessandra Orofino (Meu Rio) et Jeremy Heimans (Avaaz.org), animé par Diana Filippova.

Pia Mancini est argentine. Elle a co-fondé le parti politique Partido de la Red et le logiciel open source Democracy OS pour réintégrer le citoyen dans le processus démocratique à l’heure d’Internet et du smartphone.

 

Élection : comment Voxe.org va révolutionner la présidentielle – LePoint

En plus d’exposer les programmes, nous allons mettre un système pour discuter directement avec les candidats. Actuellement, ce sont eux et les médias qui choisissent des thèmes qui sont débattus. Grâce à ce que nous mettrons en place, on pourra s’adresser directement aux politiques : je poste une question et je m’assure que mes amis soutiennent la démarche. S’ils sont 200 à « liker » mon message, le candidat s’adressera non seulement à eux, mais aussi à tous ceux qui font partie de leurs réseaux sociaux.