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Liens de la semaine

Les liens CivicTech de la semaine #21

12 juin 2016 • By

Chaque dimanche, retrouvez les liens Civic Tech de la semaine.

Liens CivicTech de la semaine #21 civic tech

 

Projet France, jeunes avec Arnaud Montebourg… les bras armés de Montebourg pour 2017 – Challenges

Bienvenue au premier apéro du Projet France une plateforme lancée le 22 mai dernier par les disciples d’Arnaud Montebourg. Elle répond à « l’appel du Mont-Beuvray » formulé par l’ancien ministre de l’Economie pour bâtir « un grand projet alternatif » autour de deux questions fortes: « Comment changer la politique? Comment redémarrer l’économie? » L’initiative rappelle les « civic tech » qui émergent en France ou les militants trentenaires qui cherchent à « hacker la politique » chez Europe-Ecologie Les Verts.

 

What Can Civic Tech Learn From Social Movements? – Gov Labs

  1. Grassroots activity is expanding across the US – Activity is no longer centralized around San Francisco and New York; it’s rapidly growing and spreading across the US – in fact, there was an 81% increase in the number of cities hosting civic tech MeetUps from 2013 to 2015, and 45 of 50 states had at least one MeetUp on civic tech in 2015.

  2. Talk is turning to action – We are walking the talk. One way we can see this is that growth in civic tech Twitter discussion is highly correlated with the growth in GitHub contributions to civic tech projects and related Meetup events. Between 2013-2015, over 8,500 people contributed code to GitHub civic tech projects and there were over 76,000 MeetUps for civic tech events. 

  3. There is an engaged core, but it is very small in number – As with most social movements, civic tech has a definite core of highly engaged evangelists, advocates and entrepreneurs that are driving conversations, activity, and events and this is growing. The number of Meetup groups holding multiple events a quarter grew by 136% between 2013 to 2015. And likewise there was a 60% growth in Engaged Tweeters in during this time period.  However, this level of activity is dwarfed by other movements such as climate action.

 

Les pétitions en ligne : un nouveau moyen de se faire entendre – La voix du nord 

Change.org, premier site du genre, lancé en France en 2012, compte aujourd’hui 150 millions d’utilisateurs dans 196 pays, 7 millions dans l’Hexagone. Pour autres exemples, avaaz.org en enregistre 4,3 millions ; mesopinions.com, 4 millions. Les Français seraient parmi les plus contributeurs au monde. À chaque jour, ou presque, sa nouvelle cause, à défendre d’un clic.

Les Français auraient trouvé là un nouveau moyen de s’exprimer, hors des partis, des syndicats, des associations, dans lesquels ils ne se reconnaissent plus forcément. Comme ils le font aussi à coups de hashtags sur Twitter ou de like sur Facebook… La pétition 2.0 est un des outils de la famille des « civic tech », comme sont appelées dans le jargon les nouvelles technologies à disposition des citoyens.

 

Société collaborative : ce qu’attendent les Français – Contrepoints

Un défi colossal pour l’ensemble des plateformes de civic tech, qui ne manquent pas d’imagination et d’inventivité afin de séduire des Français déçus par la politique. La « Civic tech »séduit essentiellement les jeunes, les chiffres sont d’ailleurs encourageants pour la tranche des 18-24 ans. En revanche, une requête est unanime et intergénérationnelle : 70 % des Français jugent leurs institutions trop fermées et demandent plus d’inclusion et une meilleure prise en compte de leurs avis dans le débat public.

« Civic tech » à la traîne, mais « crowdfunding » en pleine essor : que faut-il en conclure ?

La raison de cette croissance à double vitesse des secteurs révèle qu’au-delà des logiques économiques et de l’intérêt financier, c’est la valeur « partage » qui reste le dénominateur commun des initiatives collaboratives. L’argent n’est pas la motivation principale des sondés. Pour 40% d’entre eux, le collaboratif c’est, avant tout, le partage et la solidarité quand seulement 7 % du panel évoque le souhait de faire des économies. L’étude nous donne également des indices sur les thématiques et les secteurs dans lesquels les Français souhaitent s’impliquer à l’avenir.

En tête des priorités, on retrouve la préservation de l’environnement et le développement durable. 47 % des sondés évoquent la lutte contre les déchets et le gaspillage lorsque 41 % se déclarent en faveur d’une agriculture plus respectueuse de l’environnement. Autre sujet phare, la lutte contre les exclusions et la pauvreté. De quoi ajouter de l’optimisme et un nouveau souffle dans le renouveau social autour de schémas participatifs et collaboratifs.

 

Civic tech : de la fracture numérique à la fracture démocratique – Contrepoints

Il est indéniable que la civic tech améliore l’accès aux institutions et opère ainsi une « démocratisation de la démocratie ». Pourtant, quand on y regarde de plus près, cette numérisation de la vie civique comporte un effet pervers majeur, celui de l’exclusion des personnes non-connectées. Ainsi, en voulant rapprocher les citoyens de la politique, la civic tech en exclurait d’autres…

Cette fracture se ressent aussi au niveau politique. Certains jouent beaucoup sur la participation en ligne et la co-construction, comme Arnaud Montebourg qui vient de mettre en place une plate-forme participative (leprojetfrance.fr). D’autres mettent cet aspect totalement de côté, comme Donald Trump qui a fait une campagne quasiment sans numérique, sans pour autant y perdre…  Par ailleurs, le mouvement « En Marche ! » lancé par Emmanuel Macron mise sur le terrain pour se connecter aux gens, en organisant une gigantesque opération de porte-à-porte et non un sondage géant en ligne. Les outils numériques, même s’ils sont extrêmement prometteurs, sont donc encore loin d’être les remèdes magiques pour la vie civique.

 

How Can Civic Tech Contribute to Public Safety? – Granicus

During emergencies, citizens and response teams need to be as informed as possible. Government Technology contributor David Raths reported that social media has been previously used as an information-sharing tool during natural disasters. Emergency management teams are also beginning to experiment with social media to improve situational awareness for first responders. It’s helping public information officers and first responders alike to identify best practices and keep government operations more transparent.

 

Faire vivre la démocratie autrement – La Croix 

En commençant par des initiatives pour redonner la parole aux citoyens. Mulhouse, dans le Haut-Rhin, expérimente ainsi la démocratie participative. Il y a deux ans, un grand forum a réuni 5 000 habitants, 5 % de la population.« Nous avons un mandat pour mener à bien un programme mais il existe aussi un droit à la contribution », résume le maire Jean Rottner (Les Républicains). S’inspirant de la ville de Québec, il a créé une agence de la participation chargée d’animer le débat public et s’appuie sur les nouveaux outils numériques.

Jean Rottner sait que c’est un travail de long terme et assume les échecs. « Nous avions changé la composition des comités de quartier pour impliquer davantage les citoyens, avec tirage au sort. Mais les résultats furent décevants. Les gens se sont découragés. Il faut trouver un bon équilibre entre l’ouverture à la société civile et le savoir-faire des politiques. »

 

À quoi sert l’Agence du numérique créée par l’État ? – Numerama

En pratique, l’Agence du numérique obéira aux objectifs annuels fixés par le ministre en charge du numérique, actuellement Emmanuel Macron et sa secrétaire d’Etat Axelle Lemaire, et réunira en son sein plusieurs missions jusque là dispersées, toutes orientées vers le développement des territoires :

  • Le pilotage et la mise en oeuvre du plan « France Très Haut Débit » (France THD), qui doit rendre disponible un accès à internet d’au moins 30 Mbps pour 50 % des foyers d’ici 2017 (nous en sommes loin) et 100 % d’ici 2022 ;

  • Le pilotage et la mise en oeuvre du label « French Tech » avec ses « quartiers numériques ». Son rôle consiste essentiellement à aider les territoires à travers le label, mais elle pourra aussi être « consultée sur les évolutions du cadre réglementaire relatif au financement des entreprises innovantes et à l’encouragement à l’entrepreneuriat »  ;

  • L’encouragement à la « diffusion des outils numériques et (au) développement de leur usage auprès de la population ». L’Agence du numérique devra ainsi lutter contre la fracture numérique, aussi bien en terme d’accessibilité à internet que d’usages, pour les collectivités territoriales, les associations ou encore les réseaux d’entreprises.. Elle pourra en outre être associée « aux mesures prises pour le développement des services publics numériques ». Il s’agit en clair des fonctions jusque là occupées par la Délégation aux usages de l’internet (DUI), créée en 2003 et supprimées par le décret.

 

(Mise à jour) 13 propositions pour une version améliorée de l’État, sa posture et son équilibre démocratique – Renaissance numérique

Alors que fleurissent les initiatives de réinvention de la politique, « En marche » d’un côté, « Nuit debout » de l’autre, le think tank Renaissance Numérique délivre « 13 propositions pour une version améliorée de l’Etat, sa posture et son équilibre démocratique » dans le livre blanc : Démocratie : mise à jour.

Paru le 18 avril 2016, ce rapport présente les opportunités qu’offre le numérique pour faire évoluer l’Etat et la démocratie vers davantage de transparence et de représentativité. Il se présente comme une feuille de route nécessaire pour tout décideur politique qui souhaite faire évoluer son mode de gouvernance.

 

Paris, future reine des Civic Tech? – FrenchWeb

Le secteur public comme carburant pour réinventer la démocratie, mais l’engouement sera-t-il suffisant pour réellement renouveler l’offre politique, tant au niveau local que national? Sur Paris, seuls 7% des répondants déclarent avoir participé à des concertations en ligne organisées par des administrations publiques, (à l’image du budget participatif de la ville de Paris) comme le révélait une étude du think tank Renaissance Numérique. «Parmi ceux qui considèrent que les pétitions en ligne ne sont en aucun cas prises en considération avec les élus, les jeunes (15-34 ans), les Parisiens et la catégorie sociale « inactifs » sont les plus représentés», montrait-elle également.

Or, les attentes sont fortes. Plus d’un Français sur deux (53%) attendent en priorité des pouvoirs publics qu’ils développent des services administratifs en ligne (impôts, passeports, etc.), et qu’ils soient plus transparents concernant les budgets administratifs, d’après ce même sondage.

«Il doit y avoir une vraie volonté politique derrière. En même temps que l’ouverture d’un incubateur, il faut aussi accepter une gouvernance partagée, de distribuer son pouvoir, de décentraliser», observe Camille Vaziaga, la déléguée générale à Renaissance Numérique. «D’autres questions vont aussi immanquablement se poser, comme de savoir comment l’État construit ses propres outils numériques, à qui vont appartenir ces infrastructures créées par les start-up, et comment on s’associe avec des acteurs privés (ou public), tout en gardant la main», conclut-elle.

 

« Le numérique ne doit pas être réservé aux happy few » – Rue89 / Nouvel Obs

Nous on est un do-tank, pas un think tank, on est la salle des machines, la timonerie ! Evidemment, on travaillera avec le CNNum qui a un regard plus large, une vision de plus haut. Nous, on sera la tête dans le guidon : on travaille avec ceux qui font le numérique.

Le rôle de l'Agence du numérique face aux autres administrations et organismes

Le rôle de l’Agence du numérique face aux autres administrations et organismes – Bercy

Comment donner corps à cette agence du numérique ?

La logique de l’agence est de trouver des synergies progressivement entre ses trois pôles. Elles existent parfois déjà sans qu’on s’en rende compte. Par exemple, Blablacar, avant de devenir une licorne emblématique de la French Tech, a été aidée par la Délégation des usages de l’Internet, quand la société s’appelait Comuto. On identifie de plus en plus d’axes de stratégie communs et les collectivités discutent souvent déjà avec plusieurs de ces pôles.

S’il y a un axe à renforcer, c’est la société numérique : les deux ministres et moi-même sommes très attachés à ce que le numérique soit accessible à tous les citoyens, quel que soit leur lieu d’habitation, leur parcours professionnel, leur origine sociale. Il est nécessaire que la French Tech regarde davantage la diversité des talents, la place des femmes et des personnes issues des quartiers dans les start-up. Les profils sont aujourd’hui très homogènes…

La Mairie de Paris passe en mode « open data actif » – L’informaticien

Lors de l’AWS Summit, la Mairie de Paris a levé un bout de voile sur sa stratégie open data et a surtout glissé un nouvel élément : elle ne se contente pas de recueillir des données, elle en crée. Place de la Nation, des capteurs ont été mis en place et collectent donc de nouvelles données.

 

Présidentielles : Le Big Data au service des candidats à la présidentielle 2017

 

Personal Democracy France 2016 : le replay 

Pour celles et ceux qui n’ont pas pu faire le déplacement, ou qui voudraient en reprendre une tranche, le replay complet des débats de l’après-midi et les présentations des premiers intervenants sont en ligne !

 

 


Ils font la Civic Tech

DigitaleBox veut ouvrir l’activisme digital au plus grand nombre

28 avril 2016 • By

On parle de plus en plus des outils de mobilisation et d’organisations de communautés pour les campagnes politiques en ligne et notamment de Nation Builder qui est utilisé par Alain Juppé, Jean-Luc Mélenchon ou Nathalie Kosciusko-Morizet. Il existe également un outil français, moins connu : DigitaleBox. Découvrez l’interview de son fondateur, Vincent Moncenis.

Logo DigitaleBox

En quoi DigitaleBox peut-il être utile aux politiques, aux institutions et aux citoyens ?

Notre mission est de démocratiser les systèmes d’organisation de communautés, de donner accès à la technologie au plus grand nombre, qu’il s’agisse d’une ONG, d’un candidat à une élection locale, d’une entreprise ou d’une administration, indifféremment de leurs budgets de campagne.
DigitaleBox est, avant tout, un outil de mobilisation : il va permettre à un élu de communiquer sur son action politique sur le terrain et en assemblée tout au long de son mandat, mais aussi pendant la campagne électorale.

La plateforme devient la base de données du site, des réseaux sociaux de l’utilisateur et de ses bénévoles sur le terrain, chaque nouveau contact est synchronisé automatiquement dans la base de données.
Notre solution est différente de ses concurrents américains car elle a été construite pour le cadre français d’un point de vue culturel mais aussi du point de vue de la gestion des données. Toutes les données de nos utilisateurs sont hébergées en France. Nous suivons au plus près les recommandations de la CNIL et avons été audité récemment. La puissance publique suit ces évolutions de très près.

L’autre différence majeure est que nous n’imposons pas un format de site web, les clients sont libres de développer sur la plateforme (CMS) de leur choix.
Nous avons estimé que DigitaleBox ne présenterait pas de valeur ajoutée et ne serait qu’une charge financière inutile pour les utilisateurs sans cette ouverture : wordpress héberge 30% du web mondial, les plugins de référencement y sont gratuits, les templates aussi ou très peu cher, un client peut donc créer son site web lui-même pour un usage simple ou le faire réaliser par une agence de son choix.
DigitaleBox permet de mobiliser les citoyens sur un sujet d’actualité ou un enjeu électoral, un activisme digital désormais accessible à tous : associations, groupes de citoyens, candidat indépendant, ou élus sont libres de s’emparer de cet outil de nouvelle génération.

Pour les institutions, l’enjeu n’est pas électoral, la version « entreprises et administrations » de DigitaleBox leur permet de communiquer avec les administrés dans le cadre de leur mission de communication publique. Les institutions et collectivités sont elles aussi détentrices d’un grand nombre de données pas toujours utilisées, il s’agit là d’un nouveau champ d’exploration pour les acteurs de la communication publique, pour toujours mieux informer les citoyens sur les services publics.

Quelles données sont collectées par votre plateforme de stratégie électorale et comment peuvent-elles être exploitées ?

DigitaleBox devient la base de données du site web, des réseaux sociaux et des militants d’un utilisateur, toutes ces données sont donc synchronisées automatiquement dans sa base. Ils peuvent également y ajouter des fichiers déjà en leur possession ainsi que les listes électorales.
L’objectif est de reconstituer pour chaque contact, un profil le plus complet possible, en fonction des données disponibles au fil du temps, l’adresse, les comptes sociaux, les centres d’intérêts.

Les utilisateurs sont propriétaires de leurs données qu’ils peuvent exporter en totalité quand bon leur semble ou écraser complètement si ils suppriment leur compte. Nous avons à cœur de diffuser des bonnes pratiques à nos utilisateurs et travaillons dans ce sens avec la CNIL pour que nos utilisateurs soient le mieux informe possible.

Comment des associations ou des entreprises peuvent-elles utiliser votre logiciel de gestion des réseaux sociaux et d’organisation de communautés ?

DigitaleBox représente une opportunité de transformation majeure pour les associations ! Très longtemps, elles ont été tenues à l’écart de l’innovation pour des raisons financières : seules les associations les mieux financées avaient accès à ces outils innovants.
Digitaliser la collecte du don, identifier une nouvelle génération de bénévoles et donateurs, les mobiliser pour mettre leurs causes sur le devant de la scène… Les enjeux sont nombreux pour elles !

Quant aux entreprises ayant investi les réseaux sociaux et adopté une stratégie digitale, elles doivent maintenant pouvoir capitaliser sur les efforts produits.  Aujourd’hui, nous leur proposons d’identifier de nouveaux contacts pertinents, ayant un centre d’intérêt commun avec l’univers de leurs marques. Il ne s’agit plus pour elles d’accumuler les likes et les followers en quantité industrielle sans distinction, il s’agit d’exploiter les données disponibles, de mieux connaitre une communauté de fans de leurs marques et produits.

 


Estimez-vous faire partie d’un mouvement, d’une communauté Civic Tech ? Quelles sont, selon vous, les perspectives de ce secteur en France et à l’international ?

Oui nous estimons faire partie de la communauté Civic Tech. Je vais même plus loin : DigitaleBox est une startup « CivicTech », cela est inscrit dans son ADN.
Le secteur de la CivicTech s’organise en France, il est déjà plus mature à l’étranger notamment aux Etats Unis où il s’appuie sur un éco-système complet, il ne manque aucun maillon de la chaîne : écoles, ingénieurs, créatifs, entrepreneurs, incubateurs, acteurs traditionnels en pleine transformation digitale ainsi que des business angels à l’image de Sean Parker (Facebook) ou des fonds d’investissement comme  Omydiard Network (eBay) qui réinvestissent leurs gains dans des startups américaines de la CivicTech.

L’Europe n’est pas en reste, au Royaume-Uni notamment, où les acteurs traditionnels tels que WPP (le Publicis anglais) ont investi dans les CivicTech. En France, les jeunes pousses s’organisent. Nous sommes dans une très bonne période, beaucoup d’initiatives apparaissent : l’installation du Lab Liberté en QG de la CivicTech française incarne cette dynamique.

Chez DigitaleBox nous aurons à cœur de participer à toutes les initiatives permettant de fédérer l’écosystème. Nous avons désormais notre média avec le blog CivicTech que vous avez lancé.

À quand une association de la CivicTech ? J’offre les statuts de l’association loi 1901 aux plus entreprenants. À bon entendeur !