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relation au citoyen

Présidentielles 2017

Présidentielles 2017 : Jean-Luc Mélenchon et les CivicTech

20 avril 2017 • By

A quelques jours du premier tour des élections présidentielles, CivicTechno a interrogé les candidats sur leur vision des CivicTech. Troisième épisode avec la vision du candidat de la France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon.

CivicTechno.fr est un site apolitique dédié aux technologies civiques, l’ensemble des 11 femmes et hommes politiques prétendant à la fonction suprême de l’État ont reçu le même questionnaire et leurs réponses sont diffusées ici sans filtre ou sélection partisane. 

 

Les Civic Tech aujourd’hui en France ?

Mélenchon France Insoumise Civic Tech CivicTech

La technologie permet un rapport plus direct et horizontal entre les citoyens et leurs représentants politiques. Ceci est bien entendu une avancée positive mais elle est loin d’être suffisante dans son utilisation actuelle et ce pour au moins deux raisons :

  1. la fracture numérique touche encore un bien trop grand nombre de nos concitoyens. Elle peut être sociale, générationnelle ou territoriale. C’est également une fracture dans les usages. Cette disparité porte gravement atteinte à l’égalité entre individus (accès aux services publics dématérialisés, liberté d’expression, partage de la culture et des savoirs). Il faut donc s’y attaquer afin que les technologies soient garantes d’une réelle représentativité ;
  2. le régime de monarchie présidentielle actuel dans lequel un individu élu tout les 5 ans concentre l’essentiel des pouvoirs sans possibilité pour les citoyens d’agir sur ses décisions. Il nous faut donc changer de régime institutionnel, rendre le peuple souverain et favoriser une réelle participation citoyenne notamment via les Civic Tech.

Le rôle de l’Etat est bien entendu primordial dans le renouveau démocratique, la participation collective pour les affaires publiques et l’établissement d’un rapport de confiance entre les élu-e-s et les citoyens.

 

Les CivicTech et la campagne de Jean-Luc Mélenchon ?

La campagne de la France Insoumise accorde une place centrale aux nouvelles technologies et à Internet. La plateforme principale est basée sur Nation Builder. Au delà de l’outil, c’est la stratégie de campagne, qui ne repose non plus sur des partis et des directives mais sur l’implication du plus grand nombre et l’intelligence collective, qui fait la différence.

Ainsi, notre programme – L’Avenir en Commun – est le fruit d’une réflexion collective qui s’est traduite par des milliers de contributions via la plateforme. Par ailleurs, de nombreuses initiatives de campagne sont issues de sympathisants ou militants auto-organisés via Internet. Le Discord Insoumis par exemple a développé des outils de campagne innovants et percutants (jeu vidéo Fiscal Kombat, Mélenphone, etc.).

Mélenchon France Insoumise Civic Tech CivicTech 2

Tout a été mis en œuvre pour protéger la vie privée des utilisateurs qui utilisent la plateforme. La protection des données personnelles et la renégociation du Privacy Shield sont des priorités de notre programme Numérique. Vous en trouverez le détail dans le livret thématique qui lui est consacré.

 

Quelle place pour les technologies civiques dans le programme de la France Insoumise ?

Les Civic Tech et l’utilisation des nouvelles technologies dans la vie démocratique constituent un tournant dans notre représentation et notre rapport vis à vis de la politique.

Ainsi, la transformation du fonctionnement des pouvoirs publics pour plus d’efficacité et plus de démocratie dans la prise des décisions est une priorité majeure. Les outils de budgets participatifs, de co-écriture des lois, de mise en relation des citoyens avec leurs représentants se multiplient. Il faut développer leurs usages et les modes de concertation afin que les citoyens puissent contribuer de la façon dont ils le souhaitent, via les outils numériques et/ou le débat présentiel. Cette participation doit s’appuyer sur l’éducation populaire et les mouvements citoyens. Les débats entamés et les décisions prises lors des assemblées hors ligne doivent pouvoir se poursuivre en ligne afin de faire participer le plus grand nombre. Cette participation en ligne ne doit pas être simplement esthétique. Ainsi, la loi République Numérique portée par Axelle Lemaire fut une initiative à saluer. Cependant, nous déplorons le résultat qui démontre que ce fut plus un outil de communication qu’une véritable volonté de co-construction de la loi.

Mélenchon France Insoumise Civic Tech CivicTech 3

Nous présentons donc des propositions concrètes pour la e-Démocratie, issues du livret « Notre révolution numérique » :

  • Généraliser, dans le cadre de la 6e République, la conception collective des textes de loi avec les citoyens, les propositions les plus soutenues par les internautes pourront être débattues au Parlement dans le cadre du référendum d’initiative citoyenne.
  • Reconnaître le droit de pétition numérique, encadrée par la Cnil (Commission nationale de l’informatique et des libertés) qui pourra accorder une carte électorale numérique sécurisée.
  • Favoriser dans chaque collectivité des hackathons civiques, c’est-à-dire des événements réunissant des citoyens, des élus, des développeurs dans un but d’améliorer des outils donnés. Les solutions développées dans ce cadre deviendront un bien commun. • Développer les projets de gouvernement ouvert et systématiser la publication en open data des données publiques détenues par les collectivités territoriales. • Garantir la diffusion en ligne et l’archivage de l’ensemble des travaux de la Constituante (cf. livret thématique « Changer de République pour faire place au peuple » dans la même collection).

 

Propos recueillis auprès de Charlotte Girard, co-responsable du programme de la France Insoumise


Réflexions

Outils de stratégies électorales, CiviCRM et relation au citoyen avec les Civic Tech

11 mai 2016 • By

J’ai répondu à quelques questions à propos des des outils de stratégies électorales comme Nation Builder ou DigitaleBox mais aussi d’un outil gratuit et open source : CiviCRM. Cet entretien (disponible ci-après) a été l’occasion d’aborder la gestion de la relation au citoyen dans les collectivités et de revenir sur l’ADN des logiciels Civic Tech.  

Philippe Gallo (directeur général adjoint des Pennes-Mirabeau et enseignant à l’IMPGT), Olivier CimelièreVincent Moncenis (co-fondateur et Président de DigitaleBox) et Toni Cowan-Brown, V.P. Europe de Nation Builder ont également été interrogés, je vous recommande de les lire ici. 

 

Bonjour François. Qu’est-ce qui différencie CiviCRM des deux logiciels présentés dans l’article (NDLR : Nation Builder et DigitaleBox) ? A qui s’adresse-t-il ?

François Gombert - CivicTechno.fr CivicTech Civic Tech– François Gombert : comme NationBuilder ou DigitaleBox, CiviCRM est une solution de CRM (customer relationship management) mais cette plateforme est libre et gratuite. Une autre de ses spécificités est la possibilité de l’intégrer dans différents CMS : Drupal, WordPress ou Joomla.

CiviCRM est pensé pour accompagner les associations, les organismes à but non-lucratif ou les organisations non-gouvernementales dans leurs campagnes de lobbying et de mobilisation citoyenne. En effet, ces organisations n’ont pas forcément les moyens de se doter de logiciels propriétaires comme ceux présentés dans l’article. D’autres souhaitent, par conviction, se tourner vers du libre.

 

Quels usages peut-on imaginer dans le champ public  ?

– François Gombert : CiviCRM permet principalement de gérer les relations avec les différents publics et de les organiser avec des outils comme des newsletters, des campagnes de sensibilisation ou de mobilisation autour d’événements, de causes…

« Plutôt réservé aux associations et aux ONG »

L’utilisation de ce logiciel dans la sphère publique est plutôt réservée aux associations, ONG… De grands acteurs comme la Wikimedia Foundation, Amnesty International, ou encore l’Unesco l’utilisent déjà ou l’ont utilisé, notamment pour d’importantes opérations de collecte de financement et d’actions humanitaires.

CiviCRM - Civic Tech CivicTech

Je ne crois pas que CiviCRM soit utilisé aujourd’hui par des collectivités territoriales. On devrait d’ailleurs s’interroger sur les outils utilisés par celles-ci pour gérer leur relation avec les publics. J’ai le sentiment qu’aujourd’hui, un grand nombre de collectivités s’interroge encore sur l’organisation à mettre en place pour répondre efficacement aux emails envoyés par les citoyens.

« Imaginer d’autres formes d’outils relationnels pour mieux accompagner, co-construire, mobiliser, évaluer…  »

On pourrait pourtant imaginer d’autres formes d’outils relationnels pour mieux informer, mieux cibler, mieux répondre aux demandes, mieux accompagner, consulter davantage, co-construire, mobiliser, évaluer et améliorer en continu l’efficacité des dispositifs. À quand une relation au citoyen d’aussi bonne qualité que celles mises en place dans les meilleurs services consommateurs ?

Le CEO de SeeClickFix a partagé dans un post ses recettes pour un projet Civic Tech réussi. L’une des plus intéressantes : la nécessité d’une expérience du citoyen qui rivalise avec la meilleure des expériences utilisateur. Il ajoute que si les consommateurs deviennent fans des produits qui collent à leurs besoins, les usagers des services publics pourront créer cette relation avec leurs institutions pour les mêmes raisons.

C’est l’un des grands enjeux pour les collectivités : mettre en place des technologies civiques pour améliorer la gestion de la relation et de la mobilisation citoyenne. Mais attention aux recettes miracles : il ne suffira pas de 3 clics et d’un outil, il faudra repenser toute la communication publique.

CiviCRM 2 - Civic Tech CivicTech

 

Qu’est-ce que la “technologie civique” et quel ADN un logiciel doit-il avoir pour faire partie de cette nouvelle famille ?

– François Gombert : Il n’y a pas de définition officielle, mais selon la Knight Foundation qui consacrait en 2013 un rapport sur l’émergence de la Civic Tech, le secteur se veut « à la croisée de la technologie, de l’innovation, d’un gouvernement ouvert et de l’engagement du citoyen ».

De mon point de vue, l’ADN du logiciel “civique” doit lui permettre d’offrir la possibilité à un citoyen ou à un groupe d’individus de s’engager, d’influer sur les politiques publiques ou de mieux les comprendre. Cette nouvelle famille est donc assez large : des pétitions en ligne, en passant par des outils d’intelligence collective comme ceux qui ont permis de co-construire la loi numérique, ou encore un comparateur de programmes politiques comme celui de Voxe.org.

Enfin, se pose la question de l’ouverture du code : doit-on exclure les logiciels propriétaires des CivicTech ? Même si je reste persuadé de l’importance du libre et donc de l’ouverture pour les collectivités, je ne crois pas qu’on puisse exclure des solutions comme Nation Builder et DigitaleBox dans leur version collectivité, ou encore Change.org et ses audiences qui sont de véritables acteurs numériques du changement en France et dans le monde.

 


Liens de la semaine

Les liens CivicTech de la semaine #14

24 avril 2016 • By

Chaque dimanche, retrouvez les liens Civic Tech de la semaine.

Les liens Civic Tech de la semaine #14 CivicTech

Gouvernement ouvert : la France met l’accent sur le numérique et la contribution citoyenne – Modernisation de l’action publique

Gouvernement ouvert PGO

La France encourage les alliances entre l’administration et la société civile en misant sur les technologies numériques, dont les approches sont déjà mises en œuvre avec l’open data, pour bâtir un gouvernement ouvert. Cette volonté se traduit dans plusieurs engagements de son plan d’action national pour la période 2015-2017, notamment en matière de coproduction législative.

Mexico City is crowdsourcing its new constitution using Change.org in a democracy experiment – Quartz

Voces ciudadanas en la nueva Constitución de la CDMX

Mexico City just launched a massive experiment in digital democracy. It is asking its nearly 9 million residents to help draft a new constitution through social media.

 The crowdsourcing exercise is unprecedented in Mexico—and pretty much everywhere else. Chilangos, as locals are known, can petition for issues to be included in the constitution through Change.org (link in Spanish), and make their case in person if they gather more than 10,000 signatures. They can also annotate proposals by the constitution’s drafters via PubPub, an editing platform (Spanish) similar to Google Docs.

The idea, in the words of the mayor, Miguel Angel Mancera, is to “bestow the constitution project (Spanish) with a democratic, progressive, inclusive, civic and plural character.”

13 propositions pour une version améliorée de l’État, sa posture et son équilibre démocratique – Renaissance numérique

Démocratie : mise à jour

Alors que fleurissent les initiatives de réinvention de la politique, « En marche » d’un côté, « Nuit debout » de l’autre, le think tank Renaissance Numérique délivre « 13 propositions pour une version améliorée de l’Etat, sa posture et son équilibre démocratique » dans le livre blanc : Démocratie : mise à jour.

Paru le 18 avril 2016, ce rapport présente les opportunités qu’offre le numérique pour faire évoluer l’Etat et la démocratie vers davantage de transparence et de représentativité. Il se présente comme une feuille de route nécessaire pour tout décideur politique qui souhaite faire évoluer son mode de gouvernance.

Nuit Debout : mais qui contrôle le site NuitDebout.fr ? – Numerama

Le site Nuit Debout

Au-delà de l’intérêt porté au mouvement, le site nuitdebout.fr a attiré notre curiosité lorsque l’on a découvert au hasard d’une recherche WHOIS que le nom de domaine avait été acheté par une agence de communication parisienne, RAIZ.

Or cette appropriation fait grincer des dents malgré tout. Julien Bayou est Conseiller régional d’Île-de-France et porte-parole d’EELV. Co-fondateur de Génération précaire et du collectif Jeudi Noir, il est l’un des pionniers du mouvement Nuit Debout. Au détour d’un débat sur la place de l’éducation et de la censure dans la démocratie, sur la place de la République, il nous confie qu’il n’est pas un grand fan de l’initiative.

« Plus jamais de loi Travail, c’est-à-dire sans concertation alors qu’elle concerne tout le monde », explique Mounir Mahjoubi – L’Usine Digitale

Vous ne travaillez pas sur la démocratie, l’engagement numérique, alors qu’avec Nuit debout ou la mobilisation contre la loi Travail, on voit bien de nouvelles formes émerger. Pourquoi ce paradoxe ?

Nous avons un chantier sur ce sujet, puisque nous allons dresser le bilan de l’expérimentation sur la loi République numérique. Nos travaux s’inscriront dans la présidence française de l’Open Government Partnership (OGP) qui s’ouvrira à l’automne.

Il faut consulter les Français sur les lois qui les concernent vraiment, car il y a une vraie envie, un vrai besoin de participation. J’ai envie de dire « plus jamais de loi Travail ! », c’est-à-dire une loi qui concerne tout le monde et pour laquelle on ne consulte personne. Je ne dis pas que c’est une bonne ou une mauvaise loi. Je ne me prononce pas sur ce sujet. Mais je regrette qu’on n’ait pas organisé une consultation à son sujet.

La “démocratie liquide” ou comment repenser la démocratie à l’âge numérique – Frédéric Martel

Comment améliorer la démocratie ? Quels outils pour permettre aux citoyens de participer ? Comment voter, décider, choisir, pétitionner en ligne ? “Démocratie liquide”, “démocratie participative”, “démocratie 2.0” : autant d’expressions qui permettent de penser non pas contre la démocratie mais pour une meilleure démocratie. Des associations, des collectifs, des mouvements, de nouveaux outils nous aident aussi à imaginer ces solutions post-démocratiques.

démocratie participative

Montréal s’associe avec Google pour se débarrasser de ses bouchons de circulation – Branchez vous

En échangeant des données en temps réel avec Waze, Montréal souhaite améliorer la circulation sur son réseau automobile.

Selon Radio-Canada, la ville de Montréal a conclu une entente à coût nul avec l’application Waze dans le cadre d’un programme de collaboration entre la division de Google et les grandes villes.

D’un côté, Montréal transmettra à Waze les données compilées des caméras, capteurs et radars installés sur son réseau, en plus d’informations liées aux événements prévus au calendrier et des chantiers de construction planifiés sur ses routes. De l’autre, Waze transmettra les données fournies par les 103 000 utilisateurs montréalais qui seront acheminées au Centre de gestion de la mobilité urbaine de Montréal, où les employés de la ville contrôlent notamment les centaines de feux de circulation.

Un député veut que les internautes soient consultés sur chaque projet de loi – NextInpact

Alors que la France accueillait hier le sommet mondial du Partenariat pour un gouvernement ouvert (ou « OGP »), le député Patrice Martin-Lalande déposait au même moment une proposition de loi organique visant à rendre la consultation des citoyens obligatoire, via Internet, pour tous les projets et propositions de lois.

«En marche» : le bébé du ministre Macron fait ses premiers pas – Liberation

Le parti a débuté samedi la formation de ses «marcheurs», qui devront en mobiliser d’autres selon un principe d’enrôlement pyramidal inspiré de la campagne d’Obama. Objectif : rencontrer le maximum de Français d’ici l’été.

Démocratie participative : de Paris à Reykjavik, des outils au service des citoyens – La gazette des communes

Les initiatives de collectivités territoriales visant à permettre aux citoyens d’exprimer leurs souhaits quant à l’aménagement ou au fonctionnement des services de leurs villes, se multiplient. Paris ou Nantes en France, Reykjyavik à l’étranger, ont mis en place des outils participatifs permettant à leurs habitants de s’exprimer.

Reboot démocratique : pour une démocratie directe augmentée – Les Echos

Il serait illusoire de penser que dans cette France 2020, chaque citoyen serait à même de devenir, en quelques jours de formation, un expert raisonné, crédible et légitime. D’où l’idée de combiner le régime de démocratie participative avec un réseau dynamique de pôles d’expertise, véritables communautés d’experts internationaux habilités à formaliser des recommandations à l’attention des citoyens réunis en « délibérantes », sur des sujets de politique intérieure (via Webcast, visio-conférence, etc.).

La France sous pression sur la gouvernance ouverte – Contexte

Le besoin de créer des liens entre l’État et la société civile, qui est au cœur du projet du partenariat, reste fort en France. Les administrations sont encore frileuses face aux activistes.

Lors de son intervention au lancement de la présidence française du PGO, mercredi 20 avril, la ministre de la Fonction publique, Annick Girardin, n’a pas évoqué la collaboration avec la société civile dans ses axes de travail, montrant ainsi, en creux, une absence d’intérêt pour ce qui est au cœur du partenariat.

Benjamin Jean, initiateur du projet « open law » et organisateur d’un hackathon sur les Civic Tech, regrette que seuls les plus impliqués, à savoir Etalab et le SGMAP, soient venus au hackathon :

« Le gouvernement regarde avec attention ce qui se passe, mais toutes les administrations ne suivent pas de manière active. Le seul acteur étatique vraiment présent sur le sujet, c’est Etalab, car ils sont dans une logique agile et peuvent contribuer aux projets à nos côtés. »

Civic Tech : le numérique pour réconcilier citoyens et politique – Smart attitude

Civic Tech = relation entre les collectivités, les citoyens et les entreprises

Nombreux sont ceux qui voient dans le numérique le moyen idéal pour une participation citoyenne moderne.  Est-il une véritable opportunité pour envisager de nouvelles formes de démocratie ? Focus sur le dynamisme de la « civic tech » française qui espère bien réconcilier le citoyen avec la vie politique.

Retour sur le lancement du Sommet PGO – Etalab

Le 20 avril, la France a initié le processus de co-création du Sommet mondial du Partenariat pour un Gouvernement Ouvert, lors d’un événement de lancement inauguré par Jean-Vincent PLACE, Secrétaire d’Etat en charge de la Réforme de l’Etat et de la Simplification.

Partenariat pour un gouvernement ouvert